De Novice à Starfire Aviator

Je n’ai pas cherché à gagner. J’ai cherché à comprendre. Le premier « Take Off » m’a fait frémir — non par avidité, mais par émerveille. Le tableau n’était pas une machine à sous ; c’était un cockpit à 4h37, baigné dans la brume bleue du ciel d’aube de Rio. Chaque chiffre ressemblait au vent à travers le verre : précis, silencieux, sacré. Je n’ai plus suivi les multiplicateurs. J’ai traqué mon R.T.P.—97%—comme un pilote suit son altitude. Mon budget ? BRL 50 par session. Pas pour espérer gagner — mais pour sentir quelque chose de réel sous le bruit. Le « Starfire Aviator Feast » n’est pas un événement — c’est un écho de rythme. Quand le multiplicateur frémit au-delà de 100x, il ne hurle pas. Il murmure — comme des tambours de samba étouffés par la distance — puis disparaissent dans le silence.